CONSULTATIONS
de PSYCHOLOGIE & SOPHROLOGIE
Paris 11e - entre Bastille &
République
Une trajectoire de vie est loin d'être un chemin tranquille et c'est heureux tant que les lacets du sentier nous surprennent agréablement, mais parfois, les virages peuvent être rudes et un accompagnement psychologique peut alors aider à dépasser les souffrances. | ![]() |
Mon approche pour vous accompagner
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L'accompagnement que je vous
propose s'inscrit dans le cadre défini par le code
de déontologie des psychologues. Je m'appuie, pour penser
votre problématique, sur un référentiel essentiellement
existentiel. Je ne me limite toutefois pas à ce référentiel car il
me semble que l'ouverture est indispensable pour saisir au mieux
vos questionnements et vous permettre d'avancer. Dans le jargon du
psychologue, mon approche est ainsi dite intégrative. |
Dans mon parcours de psychologue, qui m'a amené à étudier
différentes théories, j'ai été fortement influencée par l'humanisme
Rogerien. J'ai ensuite découvert la thérapie existentielle de Yalom ce
qui a véritablement fondé ma pratique. Je m'appuie également sur des
approches corporelles comme la sophrologie et l'hypnothérapie.
J'emprunte volontiers aux thérapies comportementales & cognitives
(TCC) ainsi qu'aux théories de l'attachement.
Ma formation me permet ainsi de vous accompagner aussi bien dans vos questionnements existentiels que dans la préparation de vos projets de vie (études, déménagement, retraite, intervention médicale, ré-orientation professionnelle, changements familiaux, accouchement...) et me permet de vous épauler lors de la traversée de situations générant des souffrances plus ou moins profondes (stress, doute, blocages, sentiment d'impuissance, perte de confiance en soi et en l'avenir, anxiété, crises d'angoisse, ruminations, traumatismes, troubles du sommeil, troubles de l'alimentation, difficultés relationnelles, problèmes concernant la sexualité, addictions, deuil, acouphènes, douleurs physiques...).
Ma formation me permet ainsi de vous accompagner aussi bien dans vos questionnements existentiels que dans la préparation de vos projets de vie (études, déménagement, retraite, intervention médicale, ré-orientation professionnelle, changements familiaux, accouchement...) et me permet de vous épauler lors de la traversée de situations générant des souffrances plus ou moins profondes (stress, doute, blocages, sentiment d'impuissance, perte de confiance en soi et en l'avenir, anxiété, crises d'angoisse, ruminations, traumatismes, troubles du sommeil, troubles de l'alimentation, difficultés relationnelles, problèmes concernant la sexualité, addictions, deuil, acouphènes, douleurs physiques...).
Si vous voulez en savoir plus sur ces
différentes orientations, vous pouvez aller au bas de cette page où je
vous dis un mot sur chacune d'elles, vous pouvez aussi regarder mes vidéos
youtube sur la psychologie
et la sophrologie:
- la playlist de mes
vidéos sur la sophrologie sur youtube
- la playlist de mes vidéos sur la sophrologie sur mon site de
supports de cours
- la playlist de mes vidéos sur la psychologie sur youtube
- la playlist de mes vidéos sur la psychologie sur mon site de supports de cours
Prendre rendez-vous pour une consultation
Vous pouvez me joindre pour prendre rendez-vous avec moi de
plusieurs façons:
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Adresse
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Détails pratiques pour mes consultations
Le tarif d'une séance individuelle d'une heure est de 85€.
Le paiement se fait à la fin de la séance par chèque, espèces ou virement bancaire.
Les consultations ne sont pas prises en charge par la sécurité sociale, cependant, certaines mutuelles peuvent proposer un remboursement.
Les consultations individuelles que je propose s'adressent aux adultes cependant, je reçois également des adolescents en fin de collège et des lycéens le plus souvent pour un soutien dans la préparation d'examens académiques.
Le paiement se fait à la fin de la séance par chèque, espèces ou virement bancaire.
Les consultations ne sont pas prises en charge par la sécurité sociale, cependant, certaines mutuelles peuvent proposer un remboursement.
Les consultations individuelles que je propose s'adressent aux adultes cependant, je reçois également des adolescents en fin de collège et des lycéens le plus souvent pour un soutien dans la préparation d'examens académiques.
En cas d'urgence :
- vous pouvez composer un numéro d'urgence: samu au 15, pompiers au 18, police au 17
- vous pouvez contacter Psy Ile-de-France au 01-48-00-48-00 (numéro vert gratuit) ou obtenir un soutien psychologique en choisissant une ligne d'écoute parmi celles répertoriées par le Psycom
- vous pouvez vous rendre dans un service d'urgence psychiatrique, par exemple, le Centre Psychiatrique d’Orientation et d’Accueil, 1 rue Cabanis 75014 Paris, 01-45-65-81-09 ou 01-45-65-81-10
- vous pouvez choisir une autre structure parmi celles répertoriées par le Psycom dans ses guides santé mentale disponibles pour tous les départements d'Île de France.
Un mot sur...
...la notion de référentiel
Le référentiel du psychologue correspond au système théorique sur
lequel il s'appuie pour organiser et comprendre les éléments amenés par
la personne venue consulter. Ainsi lorsque le psychologue fait ce qui
s'appelle des interprétations, il transmet à la personne, non pas son
point de vue personnel, mais son système théorique/explicatif qui
permettra à la personne de se comprendre elle-même et finalement
d'apaiser son angoisse.
Pour en savoir plus:
...l'humanisme rogerien
La psychologie humaniste s'est érigée, dans les années 1950s aux
États-Unis, comme une sorte de troisième force à côté de la psychanalyse
et du behaviorisme. L'objectif de ce courant de la psychologie est le
développement du potentiel qui existe chez chaque humain.
Ce qui m'est cher dans l'humanisme développé par le psychologue Carl
Rogers (1902-1987), c'est sa vision de la relation thérapeutique. Pour
Rogers, en se centrant sur la personne venue consulter, le thérapeute
assume sa fonction première de prise en soin d'autrui ("thérapeute"
vient du grec "therapeutês" signifiant "celui qui soigne, qui prend
soin"). Ainsi, le thérapeute, par l'individu qu'il est, s'offre
comme un point d'appui pour cette personne. Appui qui est
particulièrement présent dans les interventions verbales non directives
du thérapeute lesquelles sont formulées de manière à permettre à la
personne de reprendre son discours. In fine, en reprenant son discours,
la personne reprend son raisonnement, son cheminement et peut alors
trouver en elle-même sa propre solution.
...la thérapie existentielle
La thérapie existentielle du psychiatre Irvin Yalom (né en 1931) se
fonde sur un référentiel qualifié "d'existentiel" car s'attachant aux
enjeux de l'existence. Ces enjeux existentiels, intriqués les uns avec
les autres, peuvent générer de l'angoisse lorsqu'ils se heurtent à nos
désirs. Face à cette angoisse, nous tentons de nous protéger via des
défenses psychiques pouvant se traduire par différents troubles. Ainsi:
- L'enjeu de la mort génère de l'angoisse lorsqu'à notre
désir de vivre s'oppose l'inéluctabilité de la mort, notre finitude.
Contre cette angoisse de mort, nous nous protégeons généralement via
deux défenses fondamentales opposées mais ne s'excluant pas l'une
l'autre:
- nous pouvons croire en notre particularité, en notre inviolabilité ce qui peut se traduire par des tendances à l'individuation, c'est à dire, des comportements nous permettant de nous assurer de notre autonomie mais parfois, de manière extrême,
- nous pouvons croire en un sauveur ultime, ce qui qui peut se traduire par des tendances à fusionner avec cet autrui sauveur auquel nous pouvons nous soumettre de façon excessive.
- L'enjeu de la liberté génère de l'angoisse lorsqu'à notre désir de structure, de socle, de sol, de réalité, s'oppose le néant c'est à dire cette absence de structure, de socle, de sol. Nous confronter à notre liberté, c'est finalement nous confronter au fait que nous sommes libres de faire nos choix, c'est donc nous confronter à notre responsabilité. De cette confrontation peut naître une angoisse contre laquelle nous pouvons tenter de nous protéger par exemple en déléguant notre responsabilité à autrui avec toute l'amertume que cela peut engendrer.
- L'enjeu de l'isolement fondamental génère de l'angoisse lorsqu'à notre désir de contact, de protection, d'appartenance à un tout s'oppose l'isolement absolu, entre nous et autrui, mais aussi entre nous et l'univers, un univers qui, de surcroît est indifférent. Face à cette angoisse d'isolement, nous nous protégeons le plus souvent par des défenses de nature relationnelle qui peuvent empêcher une véritable rencontre avec autrui, c'est par exemple le cas quand cet autrui ne revêt qu'une fonction utilitaire de protection,
- L'enjeu de l'absence de sens génère de l'angoisse lorsqu'à notre désir de sens s'oppose le fait que notre vie et le monde dans lequel nous vivons sont dépourvus de tout sens. Nous nous protégeons parfois de cette angoisse d'absence de sens en nous lançant dans des activités frénétiques dont la fonction est de nous détourner de cette angoisse d'absence de sens. Or, ces activités ne nous amènent qu'à nous centrer de façon trompeuse sur des éléments peu consistants et souvent matérialistes comme les possessions, la position sociale, le prestige... Le risque est, qu'en étant dépourvues de valeurs et d'engagement, ces activités ne nous permettent pas de nous construire un cadre d'action personnel et menacent de nous faire tomber de haut dès leur vacuité découverte.
Pour en savoir plus:
...la sophrologie
La sophrologie est une méthode de relaxation guidée par la voix
qui a été développée dans les années 1960s par le psychiatre Alfonso
Caycedo (1932-2017).
Deux grands types de techniques existent en sophrologie, lesquelles sont proposées en fonction de la problématique amenée par la personne venue consulter:
En cela la sophrologie s'inscrit dans les médiations corporelles thérapeutiques où le corps sert de médium, c'est à dire, de moyen pour exprimer des éléments présents en nous qui ne sont pas verbalisables et génèrent de la souffrance. L'expression corporelle de ces éléments est ce qui permet progressivement de se les représenter, de leur donner du sens et de réduire leur nocivité.
Deux grands types de techniques existent en sophrologie, lesquelles sont proposées en fonction de la problématique amenée par la personne venue consulter:
- les techniques de relaxation dynamique qui consistent à réaliser, en position debout ou assise, des mouvements simples,
- les techniques de relaxation statique qui consistent à se laisser aller mentalement dans l'imaginaire via différentes visualisations.
En cela la sophrologie s'inscrit dans les médiations corporelles thérapeutiques où le corps sert de médium, c'est à dire, de moyen pour exprimer des éléments présents en nous qui ne sont pas verbalisables et génèrent de la souffrance. L'expression corporelle de ces éléments est ce qui permet progressivement de se les représenter, de leur donner du sens et de réduire leur nocivité.
En somme, la sophrologie permet, par une sorte de prise de recul,
de porter un regard nouveau et plus vaste sur des problèmes, ce qui
permet d'entrevoir des solutions.
Techniquement, une séance de sophrologie débute par la présentation des exercices puis il n'y a qu'à fermer les yeux et se laisser guider vocalement tout au long de la séance qui se termine par un échange libre autour des ressentis.
Techniquement, une séance de sophrologie débute par la présentation des exercices puis il n'y a qu'à fermer les yeux et se laisser guider vocalement tout au long de la séance qui se termine par un échange libre autour des ressentis.
Pour en savoir plus:
...l'hypnothérapie
Franz-Anton Mesmer (1734-1815) avec sa théorie du magnétisme animal
est vu comme le précurseur de l'hypnose. Cette pratique va évoluer avec
Amand Marie Jacques de Chastenet de Puységur (1751-1825), James Braid
(1795-1860) qui sera à l'origine du terme, et bien d'autres comme, entre
autres, Ambroise Liebault (1823-1904), Hippolyte Bernheim (1840-1919),
Jean Martin Charcot (1825-1893), Pierre Janet (1859-1947), Sigmund Freud
(1856-1939), Milton Erickson (1901-1980), François Roustang
(1923-2016).
Comme son nom le suggère, l'hypnothérapie est, d'une part, une
psychothérapie et permet donc un certain travail psychique. D'autre
part, l'hypnothérapie s'appuie sur l'hypnose, en particulier, sur
l'induction d'une transe hypnotique. Cet état, qualifié d'état de
conscience modifié dans le champ des neurosciences, possède ici une
spécificité propre dans la mesure où l'expérience que nous en faisons
est modelée par les représentations préalables que nous avons de
l'hypnose et par la relation thérapeutique. Cet état de transe
hypnotique modifie nos perceptions, les élargit et nous permet d'accéder
à des ressources existant en nous qui ne nous sont habituellement pas
accessibles. C'est donc via notre corps et ses perceptions que notre
problématique évolue. En cela, l'hypnothérapie est une médiation
corporelle puisque notre corps constitue le médium, c'est à dire le
moyen, pour exprimer ce qui, en nous, n'est pas verbalisable.
...les thérapies comportementales & cognitives
Les thérapies comportementales et cognitives ont émergé au XXe siècle
aux États-Unis. Elles ont évolué en trois vagues.
La première vague, au début du XXe siècle,
correspond aux thérapies comportementales. Ces thérapies s'appuient sur
plusieurs théories de l'apprentissage. Parmi ces théories figure le
conditionnement classique ou répondant de Ivan Pavlov (1849-1936). Une
autre théorie est le conditionnement instrumental ou opérant identifié
par les psychologues behavioristes ou comportementalistes dont les chefs
de file furent les psychologues John Broadus Watson (1878-1958) puis
Burrhus Frederic Skinner (1904-1990). S'ajoutent les théories de
l'apprentissage social de Albert Bandura (1925-2021). La visée générale
des thérapies comportementales est de modifier les comportements
dysfonctionnels associés à des souffrances en jouant sur les capacités
d'apprentissage de l'individu.
La deuxième vague, apparue au milieu du XXe siècle,
correspond aux thérapies cognitives. Ces thérapies s'appuient sur les
théories cognitives du traitement de l'information. Ces théories ont
initialement envisagé la cognition humaine (la capacité à connaître de
l'humain) comme étant comparable à la façon dont un ordinateur traite
les informations. Plusieurs fonctions cognitives comme l'attention, la
mémoire, la perception, la représentation, le raisonnement... ont alors
été modélisées. Dans le cadre de ces thérapies cognitives, les troubles
psychologiques sont vus comme résultant de traitements de l'information
qui sont dysfonctionnels, c'est à dire, comme résultant de cognitions
dysfonctionnelles. Il s'agit alors de modifier les cognitions de
l'individu, soit, ses pensées et ses émotions. Les deux principaux
fondateurs de ces thérapies sont Albert Ellis (1913-2007) qui a
développé la thérapie rationnelle émotive et Aaron Temkin Beck
(1921-2021) qui a développé la thérapie cognitive.
Ces deux premières vagues ont été réunies dans les années 1970s et
enrichies par une troisième vague qui a émergé dans les années
1990s. Cette troisième vague a ouvert la voie à un travail plus direct
sur les émotions et les expériences. La visée générale est de laisser
les émotions agréables gagner du terrain sur les émotions désagréables
et de transformer les rapports que l'individu entretient avec ses
propres émotions et cognitions. Il s'agit par exemple d'accueillir les
émotions plutôt que de les éviter, et de voir les pensées automatiques
dévalorisantes, non comme des vérités absolues, mais comme des éléments
pouvant nous traverser sans revêtir la moindre once de vérité. La
thérapie d'acceptation et d'engagement ou ACT (Acceptance and Commitment
Therapy) ou encore les thérapies basées sur la pleine conscience font
partie des TCC de la troisième vague.
Pour en savoir plus:
...la théorie de l'attachement
La théorie de l'attachement a été fondée par le psychiatre et
psychanalyste John Bowlby (1907-1990) et déployée par la psychologue du
développement Mary Ainsworth (1913-1999).
Pour l'évoquer en quelques mots, le raisonnement de Bowlby est le
suivant: le bébé humain ne peut survivre sans adulte et existent chez
lui, de façon innée, des comportements d'attachement. Ainsi, lorsque le
bébé détecte quelque chose de nouveau, de non familier dans son milieu,
une peur naît en lui, laquelle active ses comportements d'attachement.
Ces comportements sont par exemple des pleurs, qui ont une fonction
d'appel du parent, tout comme les sourires, qui ont une fonction de
maintien du parent auprès du bébé. Ainsi, par ses comportements, le bébé
attire son parent près de lui. Le parent, qualifié de figure
d'attachement, assure alors au bébé la protection dont il a besoin. Une
fois en sécurité, le bébé cesse d'exprimer ses comportements
d'attachement ce qui laisse la place à l'expression d'autres
comportements qualifiés d'exploratoires. C'est ainsi que, rassuré dans
les bras de son parent qui joue le rôle d'une base sécurisante, le bébé
peut s'intéresser à la stimulation qui l'a effrayé, la découvrir et,
éventuellement, cesser d'en avoir peur. Son appréciation de la
stimulation sera influencée par le comportement de son parent vis-à-vis
de cette stimulation. Si le parent est serein par rapport à la
stimulation, le bébé n'en aura plus peur, il appréhendera la stimulation
comme étant inoffensive. Si le parent exprime de l'inquiétude par
rapport à la stimulation, le bébé continuera à s'en méfier en
l'interprétant comme un danger.
La situation décrite peut être résumée par la séquence suivante:
La situation décrite peut être résumée par la séquence suivante:
- apparition d'une nouveauté dans l'environnement
- activation du système peur-alarme
- peur
- activation du système d'attachement
- comportement d'attachement, ex: pleurs
- obtention d'une protection par la figure d'attachement au rôle de base sécurisante
- inactivation du système d'attachement laissant la place à l'activation du système d'exploration
- exploration de la nouveauté qui devient quelque chose de connu.
Ensuite, en grandissant, les besoins de l'enfant par rapport à sa
figure d'attachement vont évoluer. Si, pour explorer le monde, le bébé a
besoin d'être en contact physique avec sa figure d'attachement qui est
sa base sécurisante; plus grand, un simple contact visuel sera
suffisant, puis le simple fait de savoir sa base à portée de voix
suffira. Encore plus grand, c'est le simple fait de savoir qu'il peut
compter sur sa figure d'attachement qui suffira. C'est ainsi que
l'enfant explore d'abord le monde depuis les bras de sa figure
d'attachement, puis s'en éloigne progressivement au point de pouvoir
explorer le monde sans sa présence physique, l'enfant ayant intériorisé
sa figure d'attachement. L'attachement constitue ainsi un processus qui
permet à l'enfant de devenir autonome à son rythme.
Les relations précoces entre le bébé et sa figure d'attachement vont
servir de modèle au bébé devenu grand pour appréhender les rapports
interpersonnels.
Si le parent répond de façon adéquate aux comportements d'attachement de son enfant, celui-ci va se voir comme une personne capable d'attirer l'attention sur ses besoins et capable d'obtenir du réconfort. Donc, comme une personne apte à être aimée. L'enfant va aussi envisager autrui comme une personne sur laquelle il est possible de compter. De ce fait, les relations interpersonnelles seront envisagées comme gratifiantes et les modes interactionnels seront satisfaisants.
En revanche, si le parent ne répond pas de façon adéquate aux comportements d'attachement de son enfant, celui-ci va se voir comme une personne incapable d'attirer l'attention sur ses besoins et incapable d'obtenir du réconfort. Donc, comme une personne non apte à être aimée. L'enfant va aussi envisager autrui comme une personne sur laquelle il n'est pas possible de compter. De ce fait, les relations interpersonnelles seront envisagées comme frustrantes et les modes interactionnels ne seront pas satisfaisants.
Les relations précoces acquièrent ainsi le statut d'un modèle sur lequel l'individu s'appuiera notamment pour appréhender les diverses situations d'interactions sociales qu'il rencontrera.
Ainsi, l'attachement est non seulement un processus qui permet à l'enfant de devenir autonome, mais c'est aussi un processus qui permet à l'enfant de développer, en plus de ses capacités exploratoires, ses compétences sociales.
Si le parent répond de façon adéquate aux comportements d'attachement de son enfant, celui-ci va se voir comme une personne capable d'attirer l'attention sur ses besoins et capable d'obtenir du réconfort. Donc, comme une personne apte à être aimée. L'enfant va aussi envisager autrui comme une personne sur laquelle il est possible de compter. De ce fait, les relations interpersonnelles seront envisagées comme gratifiantes et les modes interactionnels seront satisfaisants.
En revanche, si le parent ne répond pas de façon adéquate aux comportements d'attachement de son enfant, celui-ci va se voir comme une personne incapable d'attirer l'attention sur ses besoins et incapable d'obtenir du réconfort. Donc, comme une personne non apte à être aimée. L'enfant va aussi envisager autrui comme une personne sur laquelle il n'est pas possible de compter. De ce fait, les relations interpersonnelles seront envisagées comme frustrantes et les modes interactionnels ne seront pas satisfaisants.
Les relations précoces acquièrent ainsi le statut d'un modèle sur lequel l'individu s'appuiera notamment pour appréhender les diverses situations d'interactions sociales qu'il rencontrera.
Ainsi, l'attachement est non seulement un processus qui permet à l'enfant de devenir autonome, mais c'est aussi un processus qui permet à l'enfant de développer, en plus de ses capacités exploratoires, ses compétences sociales.
Pour en savoir plus, notamment sur la
situation étrange et la notion de modèle interne opérant ou MIO:
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